Reproduction sur toile : Thermes de Trajan

La fille de l'artiste, Helen Haseltine Plowden, a nommé cette aquarelle Sette Sale, Villa Brancaccio lorsqu'elle en a fait don au Musée en 1967. Dans une biographie de son père, elle a décrit la villa comme un "lieu de villégiature préféré" de la famille et a rappelé de joyeux souvenirs. de son père dessinant des ruines à proximité pendant que les enfants jouaient dans le jardin et que les aînés parlaient. L'emplacement représenté, cependant, n'est ni Sette Sale, un groupe de citernes qui alimentaient en eau les thermes de Trajan (104-9 après JC), ni la Villa Brancaccio. Il semble plutôt représenter les ruines voisines des Thermes de Trajan. Haseltine a probablement été attiré par le sens de la décadence de l'ancien bâtiment ainsi que par la végétation luxuriante, qu'il a rendue dans des teintes vives sur du papier bleu, laissé à nu pour suggérer le ciel romain.